Sapar de là !

Sapar surtout d’une nécessité : essayer de changer nos façons de consommer, sans enlever notre plaisir de le faire.
Sapar de cette culture de la surproduction et de la surconsommation que l’on sait critiquer mais difficilement faire évoluer.
Sapar de ce plaisir coupable d’accumuler beaucoup de choses chez nous, sans forcément toujours les utiliser.
Sapar de ce sentiment de vouloir faire plus, de se donner les moyens d’agir mais de se rendre compte que ça n’est pas toujours si facile à faire.
Sapar de ce besoin de solutions simples et incitatives pour changer nos habitudes.
Sapar de la volonté d’avoir un impact.
Sapar des différentes alternatives de seconde main, d’économie circulaire, au fort potentiel mais aux utilisations encore perfectibles.
Sapar, enfin et surtout, d’une ambition de faire de ces alternatives la nouvelle norme.
Sapar de là.